Le gouvernement a entériné noir sur blanc les mesures pour faire face à la crise générée par la bactérie Ralstonia introduite en 2015 d’Australie sur les cultures de pommes de terre Nadine. L’arrêté, décidé en concertation avec les différents partenaires, autorise la destruction par les services phytosanitaires des parcelles plantées avec les semences de cette variété, de celles ayant fait l’objet de travaux culturaux réalisés avec des outils contaminés, l’interdiction d’introduire durant deux ans au moins des plantes similaires dans ces parcelles. Ces mesures, décidées en 2016, avaient été suivies par la plupart des producteurs, mais un cadre réglementaire, pour être certain que la maladie ne réapparaisse pas, « faisait défaut »… 60 % des cultures ont été touchées.
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