Les trois agents de la police nationale, qui comparaissaient pour violence volontaire avec arme, soustraction d’arme, faux et usage de faux, ont été relaxés mardi 20 octobre par le tribunal correctionnel de Nouméa. Ils étaient intervenus en septembre à Koutio, en zone gendarmerie, pour maîtriser un forcené à l’aide de gaz lacrymogène et avaient remis l’individu à un parent. Ils avaient ensuite été placés en garde à vue pour « non-assistance à personne en danger ». Ils risquaient jusqu’à 5 ans de prison et 9 millions de francs d’amende.
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