Plusieurs associations, dont la Marche mondiale des femmes et l’Union des femmes francophones d’Océanie, ont organisé, mercredi 24 avril sur la place des Cocotiers à Nouméa, un sit-in en soutien à Thérèse Waïa. La journaliste de NC La 1ère, dont le professionnalisme avait été remis en question par une élue, a subi « une nouvelle déferlante de cyberviolences et d’attaques verbales à caractère raciste et sexiste », selon les organisatrices de la mobilisation qui ont appelé « à la liberté de la presse », l’un des socles de la démocratie. Les responsables de ces associations ont pensé à « toutes les journalistes soumises à des pressions »
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