Dans un courrier adressé à l’association EPLP, qui réclamait un état des lieux des conséquences environnementales du naufrage d’un blue boat, le haut-commissariat se veut rassurant. Le B2M d’Entrecasteaux a surveillé la dérive de la quarantaine de fûts libérés et l’état des modèles de dérive. « Il semble très improbable que ces fûts puissent gagner les zones des Chesterfield ou des Bellona », fait-il savoir. Il précise par ailleurs que les navires vietnamiens « contiennent très peu d’huile » et que les fûts de gazole contenaient du diesel de type terrestre, « un hydrocarbure léger dont la majeure partie s’évapore facilement dans une eau de mer à cette température », et grâce au « brassage » de l’eau. Selon le haut-commissariat, il n’y avait pas lieu d’envoyer de matériel antipollution, « ce dernier n’étant d‘ailleurs efficace que sur les nappes d’hydrocarbures lourds ». Des éléments confirmés par le centre d’expertises pratiques de lutte antipollution.
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