Plusieurs familles ont vu leurs habitations détruites, mardi, dans une partie du squat de Ko We Kara, dans le quartier industriel de Ducos, ainsi que deux nakamals. Elles faisaient l’objet d’une procédure d’expulsion depuis un an, suite à une décision de justice à la demande du propriétaire du terrain. Pour l’instant, les familles n’ont pas été relogées. La police était déjà venue au mois de juin pour leur demander de quitter les lieux. Un projet économique est prévu sur ce terrain privé.
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