Une cinquantaine d’agents de la police nationale ont relayé, mardi, devant le commissariat de Nouméa, le mouvement national entrepris par leurs collègues contre la suppression de la « clé d’étranglement », une éventualité évoquée par le ministre de l’Intérieur. Cette technique permet, par une pression au cou, d’interpeller les individus récalcitrants. Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a finalement informé ses équipes qu’elle pourra continuer d’être utilisée « avec discernement » jusqu’au 1er septembre. Un groupe de travail sera chargé de définir des gestes qui permettront de s’y substituer efficacement.
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