Spirit Festival : une première appréciée

Le premier Festival de yoga et de bien-être organisé par l’association Gayatri a tenu toutes ses promesses le week- end dernier. Passionnés et curieux se sont retrouvés au parc du Receiving autour d’une énergie résolument positive. Namaste… 

On se serait (presque) cru au Bali Spirit Festival qui se déroule tous les ans durant une semaine à Ubud. L’esprit du Spirit Festival de Nouméa était, en tout cas, le même : réunir les adeptes de yoga sur la durée avec des cours, mais également des ateliers de bien-être, un marché avec divers stands de restauration, jus de fruits naturels, bijoux et habillement.

Les participants ont ainsi pu s’initier à des pratiques douces comme le qi gong, le kundalini ou le hatha yoga, faire des salutations au soleil, s’essayer à du yoga plus dynamique comme le ashtanga ou encore à la méditation et à la sophrologie. Il y avait même des séances de yoga pour enfants. Et tous les cours étaient remplis.

Pour Marine, qui pratique le yoga chaque semaine, c’était une « opportunité de faire plusieurs cours d’affilée », de faire « un week-end complet de détente ». D’autres, comme Taïa et Ludivine, s’essayaient pour la première fois. « On voulait s’y mettre et on s’est dit que ce serait une bonne façon de voir si ça nous plairait vraiment et après quelle serait la pratique la plus adaptée à nos besoins. » Beaucoup se sont dits satisfaits de l’ambiance et des rencontres qu’ils ont pu faire. Et côté organisation, on était ravis de cette première. « On est vraiment content parce qu’on a monté ce festival en quelques mois, souligne Marie- Line, trésorière de l’association Gayatri pour la promotion du yoga. Et les professeurs ont répondu présent comme les exposants ou partenaires. On a été agréablement surpris par la participation. » Si les organisateurs entrent dans leurs frais, une nouvelle édition sera programmée l’année prochaine.

Facebook : Gayatri-association pour la promotion du yoga

C.M.

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Le yoga en plein essor

Il y aurait en Nouvelle-Calédonie au moins une trentaine de professeurs, formés principalement en Inde ou à Bali, et de plus en plus de demande. À Nouméa, mais également à Dumbéa, au Mont-Dore, La Foa ou Koné.