Quand la violence détruit la santé : réflexions d’un médecin généraliste

« Je suis âgé de 64 ans, médecin généraliste qui a vécu plus de temps en Nouvelle-Calédonie qu’en métropole (arrivé en 1987). Je comprends l’aspiration à l’indépendance, qui me paraît naturelle, mais je suis dépité, désabusé et découragé par toutes ces actions de terre brûlée en particulier à l’encontre des structures médicales (16 cabinets pillés, dévastés ou incendiés dont celui de l’épouse du premier médecin kanak installé en Nouvelle-Calédonie). »

Georges (nom d’emprunt), médecin généraliste