La SLN a effectué mardi 8 avril au Mont- Dore la 5e étape ‒ sur 6 ‒ de sa tournée 2025 consistant à présenter à ses salariés sa feuille de route 2025. Deux axes principaux sont travaillés pour un regain de compétitivité. Tout d’abord, l’énergie, dont le coût ‒ 180 à 200 euros le mégawattheure ‒ est très élevé, comparé à celui des concurrents chinois en Indonésie (50 euros). La SLN, PRNC, Enercal, le gouvernement… ont cosigné un courrier à l’attention du ministre Manuel Valls en faveur de la création d’« une centrale calédonienne, pivot du futur système électrique », a noté Guillaume Kurek, directeur général de la Société Le Nickel. Une installation de 160 à 200 mégawatts, en parallèle du déve- loppement du Schéma pour la transition énergétique ou Stenc. Second élément visé, l’accès au domaine minier de la côte Est. Passer d’une teneur en nickel enfournée de 2 à 2,35 % permet d’accroître le revenu de 8 milliards de francs.