À la suite de la mise en sommeil des sites SLN de Thio en octobre en raison de l’insécurité depuis huit mois et des destructions à plus de 75%, 180 employés ‒sur 230 ‒ ont reçu une attestation de rupture du contrat de travail effective vendredi 13 décembre. La mesure permet, malgré le coup dur, de prolonger une indemnisation à travers le chômage total exactions durant neuf mois, mais aussi de bénéficier d’une indemnité de trois à six mois de salaire et du main- tien de la mutuelle pendant six mois. Une priorité de réembauche est également prévue, avec possiblement une reprise de l’ancienneté des salariés. La réouverture du centre minier de Thio dépend de la sécurisation des accès et du financement de son réaménagement.
Sur le même thème
Quelle saveur aura Noël ? Un goût mitigé, voire très amer, forcément. Ces retrouvailles autour du sapin sont un moment privilégié pour partager en famille, mais aussi, bien souvent, pour évoquer l’année passée. Les bons souvenirs surtout, du succès aux études à l’achat d’une voiture. Mais, faut-il le rappeler, 2024 […]
Selon NC La 1ère, dix salariés protégés de l’hypermarché Carrefour Kenu-In incendié de Dumbéa ont saisi le tribunal administratif pour rupture de contrat abusive. Tandis que deux cents employés poursuivent le groupe de grande distribution devant le tribunal du travail, anéantis d’avoir été « licenciés du jour au lendemain, comme […]
Le bilan des victimes, durant l’insurrection du 13 mai, est passé à 14. Le procureur de la République, Yves Dupas, a fait état vendredi 13 décembre de la fin d’une enquête après le décès d’un jeune homme, âgé de 23 ans, domicilié à Kaméré et atteint par un projectile au […]
